A propos de ce billet :
Contrairement à ce que certaines personnes ont voulu lire,
ce billet n’est pas un «article» à proprement parler ; ni sur Soral, ni sur son «Grand Essai» ; essai que
ses partisans mettent généralement en avant pour essayer de démontrer que leur
guide n’est pas seulement un prophète courageux mais aussi un essayiste
clairvoyant.
Sur l’homme beaucoup de choses ont été dites de vraies, d’autres
beaucoup moins (je ne crois pas pour ma part que «l'agitateur d'idées» ne soit motivé que par des raisons d'ordre mercantile - vendre ses livres - ou des raisons sexuelles - séduire des écervelées prêtes à tout donner, y compris leur corps, à leur «guru»)
Pour ma part, j’indique
simplement dans ce billet un lien vers une vidéo et j’en fais un commentaire
personnel. Ensuite j’indique un grand nombre de liens me semblant pouvoir compléter
l’idée qu’on peut se faire de l’homme et des idées qu’il défend.
Pour ce qui concerne son «Grand Essai» dont on peut prendre
connaissance gratuitement par le lien indiqué ci-dessous (il en existe de
nombreux autres sur la toile), je crois, comme l’immense majorité de ceux qui l’ont
lu et qui possède un minimum de rigueur intellectuelle, qu’il ne mérite pas un «article».
Ce serait lui rendre un honneur qu’il ne mérite en aucune façon. Il faut la pédanterie suffisante d'un ex-soralien apprenti historien pour croire absolument nécessaire de céder à l'extrême facilité qu'il y a à démonter un tel livre. On notera d'ailleurs que cette critique s'est faite sur le site dont le responsable n'a vraiment rien à envier de la bêtise de Soral.
Cette absence de «critique de fond» (1) sur son opus - hormis
de la part de ceux qui, aux extrêmes
craignent que leurs partisans soient séduits par les sirènes du soralisme (Voir pour ce phénomène un lien ci-dessous et une discussion ICI à partir de l'intervention de "Mehdi B." le 28 février 2011 10:46) – ne s’explique pas, comme bien évidemment Soral n’a pas manqué,
en vrai parano qu’il est, de l’imaginer et le dire, par une sorte d’omerta du milieu intellectuel qui, devant la «puissance» d’une telle pensée
serait resté sans voix. Elle s’explique tout bêtement par la médiocrité du dit «ouvrage».
Quel historien, sociologue, philosophe ( !) digne de ce nom perdrait son temps, au nom de l'autorité savante de sa discipline, à «répondre» à un tel «livre» ?
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(1)Je ne parle pas là des articulets ne se distinguant
que très difficilement de la publicité déclarée comme telle et qu’on trouve
dans la «grande presse» ; articulets dont la parution obéit à de subtiles
lois du marché éditorial et/ou aux
obligations du copinage idéologique ou autre. Je parle d'article de revue
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Il faut la fidélité d’un
Alain de Benoist à son camp idéologique –
quoiqu’il dise sur l’inanité de celle-ci - pour rendre compte de cet essai (Mais le pape de la nouvelle droite n’a-t-il
pas rendu compte également des «livres» de Jean Robin ?).
Ceci dit son livre n’est, sur le plan intellectuel, pas plus
mauvais que d’autres «essais» de ce (bas) niveau. Sa particularité réside premièrement dans sa ridicule tentative d’avoir une
connaissance politique totale du monde et, deuxièmement, après avoir dressé ce
qu’il croit être un état des lieux, de désigner un bouc émissaire. C’est d’ailleurs
cela, et seulement cela qu’une bonne partie de ses partisans retiennent. En un
mot ce livre est celui d’un antisémite qui ne veut pas s’avouer comme tel et qui par lâcheté préfère construire un système idéologique qui amène obligatoirement ceux qui y adhèrent, à le devenir.
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Pour qui voudrait découvrir Alain Soral sous l’aspect d’un «brave garçon» (de 54 ans …), je ne saurais trop conseiller de visionner cette vidéo
Passons sur le monumental narcissisme et le manque total de pudeur dont cette vidéo auto-promotionnelle est la démonstration. En cela Soral, quoi qu'il dise sur sa pseudo exceptionnalité, ne se différencie en rien de toutes ces personnes dont le rêve permanent est qu’un public de vidéo-spectateurs ou de téléspectateurs s’intéresse à elles (plus qu’à ce qu’elles ont fait de réellement créateur). Je ne sais pas si Soral cite quelque part Debord mais ce qui est clair est qu’il n’en a, pour lui-même, tiré aucune conséquence puisqu’il participe volontairement du Spectacle ; ici un spectacle ridicule.
Quand on l'écoute, comme ici, raconter sa vie il apparaît finalement comme un «brave garçon»... un peu c-o-n qui s’est rêvé «écrivain» et qui croit aujourd’hui l’être alors qu’il n’est qu’un mauvais essayiste.
Toute la vidéo est entrecoupée d’échanges de fouettés et autres coups de savate mollassons que notre «sportif» vieillissant échange avec un jeune homme indolent.
La visite (de ce musée du petit essayiste fascisant) consistera en un tour d’horizon ses «petits trésors».
Cela commence tout d’abord par une croute exécutée par un mauvais clone du peintre proche de la ND Olivier Carré.
«L’artiste» a plagié maladroitement un tableau de Magritte mais, à la place de la pipe, on a la stalino-virile tête … du brave garçon. Le déni d’ordre philosophico-linguistique que Magritte avait voulu faire passer dans le titre qu’il avait donné à sa toile est réduit à un déni idéologique (Alain Soral ne serait pas antisémite ...) dont on peut avoir beaucoup de mal à croire, entendu plusieurs de ses déclarations, qu’il correspond à la réalité du personnage.
Il nous présente ensuite ce qui fut son «bouquin de cours» - en réalité une petite brochure - mais qui a, selon ses dires, fait de lui un «spécialiste du vêtement» (il n’ose tout de même pas dire qu’il aurait été un novateur)
Il enchaîne en appuyant sur la tête mobile d’un petit chien en matière synthétique qu’il appelle élégamment «Dantec» (Faut-il rappeler que l’auteur de La sirène rouge peut, incontestablement et contrairement à lui, être réellement nommé écrivain ?). Ici on a une première injure quant aux caractéristiques physiques d’une personne (Soral est coutumier de ce type d’injure). Dantec est environ un poids-plume (60kg). Mais en quoi cette morphologie (Soral le traite, dans une autre vidéo, d'avorton) condamne-t-elle, ou ont à voir avec, les idées (très contestables par ailleurs) de Dantec ?
Soral passe ensuite à ce qu’il estime être un trésor. Une vieille K7 porno sur laquelle on peut voir la future femme de BHL prise en levrette par Klaus Kinski. Cela fait ricaner la «journaliste» qui est venue en visite chez ce pitre et cela fait sans doute aussi rire grassement les puceaux de son groupuscule.
Mais qu’a-t-il vraiment voulu montrer ? Joue-t-il ici, comme il le fait continuellement, sur deux registres ? D’un côté se faire passer à peu de frais pour un libertaire pan-sexualiste auprès d’une partie de son public et de l’autre, satisfaire les coincés du slip ?
Mais qu’a-t-il vraiment voulu montrer ? Joue-t-il ici, comme il le fait continuellement, sur deux registres ? D’un côté se faire passer à peu de frais pour un libertaire pan-sexualiste auprès d’une partie de son public et de l’autre, satisfaire les coincés du slip ?
Au passage on peut noter une seconde injure sur le physique. Soral proclame qu’être caissière, c’est être forcément un laideron. Le bobo fascisant Soral habitant le quartier du Marais ne doit pas faire souvent ses courses en hypermarché. S’il y allait plus souvent il pourrait découvrir, lui le pseudo «sociologue», qu’aujourd’hui tout job est bon à prendre quant bien même votre physique pourrait faire de vous un mannequin potable. Mais on sait bien que Soral est le perroquet permanent de jugements de valeur dignes du premier crétin greco-élitiste venu.
Notre grand intellectuel visionnaire sort ensuite de sa bibliothèque quelque chose qu’on aurait plutôt vu dans celle d’un collégien n’ayant pas encore dépassé le stade de la révolte «politique» post-pubertaire. C’est une poupée de Sarkozy dans laquelle, comme dans les rites vaudou, on peut enfoncer des aiguilles.
On a ensuite droit à une visite de ses «chiottes» parce qu'y est affiché un portrait de Mussolini dont il trouve la figure particulièrement «virile». Une vraie journaliste aurait dû alors demander à notre brillant penseur politique ce qui, en dehors de cette face de butor, lui plaisait chez ce «grand homme politique».
On a ensuite droit à une visite de ses «chiottes» parce qu'y est affiché un portrait de Mussolini dont il trouve la figure particulièrement «virile». Une vraie journaliste aurait dû alors demander à notre brillant penseur politique ce qui, en dehors de cette face de butor, lui plaisait chez ce «grand homme politique».
Mais on a droit, à nouveau, qu’à nouvelle belle perle : «je suis fondamentalement humble» (sic). C’est certain, Soral n’est pas infatué, il est juste réaliste comme quant, dans une autre vidéo, il dit qu’il est un grand penseur politique «dont on se souviendra très longtemps».
Soral aurait dû, comme son ami Dieudonné, faire une carrière de comique …
Dans la seconde partie de cette vidéo Soral répond à un questionnaire du style de ceux qu’on peut trouver dans la presse people et/ou bas de gamme. (Ce alors qu’il ne perd pas une occasion de cracher sur cette presse de divertissement dans laquelle il a longtemps fait, lui-même, de laborieuses piges).
Sur la question du «pacifisme», Soral nous dit qu'il est pour. Pour s’en assurer voir ICI.
A la deuxième question notre grand écrivain répond qu’il est plutôt «optimiste» parce qu’il sait «rebondir» (= trouver un nouveau biais pour parasiter). Mais peut-être ne comprend-t-il pas à quelle problématique l’opposition pessimisme/optimisme renvoie. Sinon il devrait plutôt dire qu’il est un «pessimiste actif» (Comme tous les proto-fascistes).
A la question êtes-vous «joyeux», il répond qu’il est un «rigolo». Nous sommes d’accord mais pas dans le sens qu’il utilise ici.
Sur son «élégance», on n’insistera pas. C’est plutôt celle d’un moine (rouge-brun)
A ce moment de l’interrogatoire il commence à théoriser de la manière la plus niaise qui soit. Pour être «capable de faire une fausse note», dit-il, «il faut jouer juste» (la suite est à l’avenant).
Il aime la justice (qui ne l’aime pas ?) mais plus encore l’Ordre. Nous nous en serions doutés.
Aimer l’Ordre pour lui, c’est «se laver et être ponctuel» (on ne voit pas très bien le rapport avec la question). Ce n'est certainement pas de rêver à une expulsion manu militari des agents sionistes de l'Empire (dont il a "si bien compris", comme son ami cinglé Le Libre Penseur, les manigances ...)
Sur la question de l’anarchisme, sa réponse montre sa très frustre connaissance du sujet. Son «anarchisme» relève tout au plus de cette notion qu’on appelle «l’anarchisme de droite» (pour lui, avec ses idées conspirationnistes - voir la note en bas de page -, ce serait plutôt une sorte d'anarchisme d’extrême-droite ...) qu’il serait plus précis d’appeler un «aristocratisme de petit bourgeois»
Il commence ensuite à évoquer son cursus.
Après avoir honnêtement* avoué (avec une grimace qui en dit long ...) qu’il n’est pas bachelier, On apprend que s’il s’est inscrit aux Beaux-Arts c’est «pour une question d’assurance sociale» et il ajoute «parce que toute ma vie est guidée par la survie». (Ne serait-ce pas plutôt par le parasitage ?)
*Honnêteté qu’il faut lui reconnaitre étant donné le nombre important de personnes qui dans son cas mentiraient …
*Honnêteté qu’il faut lui reconnaitre étant donné le nombre important de personnes qui dans son cas mentiraient …
Toujours aussi «modeste» et «humble» (voir ci-dessus) il dit, sans le moindre sourire (qui pourrait faire admettre qu’il sait garder de la distance face à ce qu’il raconte), et à propos de son admission dans ces écoles, «comme je suis doué, j’ai été accepté»
Aux Beaux Arts, il n’est pas resté parce que «les mecs étaient nuls» et que «c’était sale».
A l'EHESS, par contre, il n’a pas fait que passer. Ce qui a permis à Castoriadis , bien que «mauvais» (sic), d’avoir l’immense honneur de pouvoir rencontrer le futur grand sociologue Soral. Ce dernier n’a pas perdu de temps - bien que cela lui aurait si facile - à «démonter le bricolage» de ce «freudo-marxiste psychanalysant» (hou les cornes ! criera son public de petits crétins réactionnaires ).
A l'EHESS, par contre, il n’a pas fait que passer. Ce qui a permis à Castoriadis , bien que «mauvais» (sic), d’avoir l’immense honneur de pouvoir rencontrer le futur grand sociologue Soral. Ce dernier n’a pas perdu de temps - bien que cela lui aurait si facile - à «démonter le bricolage» de ce «freudo-marxiste psychanalysant» (hou les cornes ! criera son public de petits crétins réactionnaires ).
En fin de compte cet acharné travail intellectuel (de trois mois) lui a permis de comprendre deux mots : «sociologie» - discipline dans laquelle il est devenu le plus grand - et «philosophie» - discipline qu’il a laissé au plus grand de cette catégorie (à l'extrême-droite), son camarade de combat Alain de Benoist
Suit l’épisode de son adhésion au PCF … dans une cellule du 5ème arrondissements de la capitale … dont on ne saura rien d’autre que : «les ouvriers n’étaient pas la majorité» … mais principalement des «profs gaucho-trotskystes» (étonnant le nombre professeur dans ces quartiers universitaires n’est-ce pas …)
On aura alors droit à l’un de ces truismes dont notre grand penseur politique est si friand : «C’est très important la théorie et la pratique» car il est un vrai (de vrai) «sociologue de terrain».
Suivent une série de bons gros poncifs idiots (dignes des raisonnements du «journaliste» d'extrême-droite Jean Robin) «je ne vois pas comment on peut comprendre ce qu’est le parti communiste sans rentrer dedans, je ne vois pas comment on peut comprendre ce qu’est le Front National sans rentrer dedans, je ne vois pas comment on peut comprendre la boxe sans en faire».
Pendant qu’il y était il aurait dû ajouter : «Je ne vois pas comment on peut comprendre ce qu’est l’Islam sans être musulman, je ne vois pas comment on peut comprendre ce qu’est le judaïsme et le sionisme sans être juif (Ah non celle-ci, il aurait eu du mal à la faire …)» ou encore «Je ne vois pas comment on peut comprendre le cancer sans en avoir un, je ne vois pas comment on peut comprendre la maladie d’Alzeimer sans en être soi-même atteint (T’inquiète Alain ça vient …), j’ai mieux compris les théories conspirationnistes depuis que je suis moi-même devenu paranoïaque (Certainement mon bon Alain) ou encore (peut-être plus vraisemblable …), je ne vois pas comment on peut parler de la sodomie sans se faire sodomiser à son tour».
Oui vous avez compris le monde est divisé en parcelles autonomes fermées sur elles-mêmes et ne pouvant jamais communiquer le savoir qu’elles ont d’elles-mêmes à ceux qui n’en sont pas. Bref le progressisme (hou les cornes ! crie son public de futurs beaufs) en Science comme ailleurs, c’est de la foutaise ; «Soyons des réactionnaires actifs, et ce mot de «fasciste», comme l’avait dit le camarade Drieu la Rochelle nous le revendiquons !» (non zut je m’égare, il n’a pas encore dit cela … )
L’agitateur d’idées Soral enchaîne en nous disant qu’il a «horreur des spectateurs» (Dehors tous ces cons qui vont, par exemple, aux spectacles de Dieudonné ! Ils feraient mieux, après avoir écouté Faurisson et Soral, de donner la chasse aux juifs comme dans les années d’avant-guerre).
Bref, il préfère les gens enrégimentés. (C’est pour cela qu’il contrôle sévèrement sa secte politique et rêve peut-être* d'en faire une milice)
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* Je ne croyais pas si bien dire … Un lecteur m’a fait remarquer qu’il possède le film La Vague et qu’il mettrait en vente ( ?) un tee-shirt à son nom
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On apprend également que le penseur Soral est un partisan de «l’immersion totale» (même au risque de se noyer si l'on ne sait pas, comme lui, nager ...). Face à un débat classique dans les sciences sociales, sa grosse balourdise fait, comme à son habitude, un choix sans nuances. Qui n’est pas «dedans» (voir ci-dessus) ne peut «rien comprendre» (le grand philologue qu’il est nous rappelle que cela signifie «prendre avec»).
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* Je ne croyais pas si bien dire … Un lecteur m’a fait remarquer qu’il possède le film La Vague et qu’il mettrait en vente ( ?) un tee-shirt à son nom
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On apprend également que le penseur Soral est un partisan de «l’immersion totale» (même au risque de se noyer si l'on ne sait pas, comme lui, nager ...). Face à un débat classique dans les sciences sociales, sa grosse balourdise fait, comme à son habitude, un choix sans nuances. Qui n’est pas «dedans» (voir ci-dessus) ne peut «rien comprendre» (le grand philologue qu’il est nous rappelle que cela signifie «prendre avec»).
Suit une violente diatribe contre les critiques de cinéma («les pires connards» dit-il) et à nouveau son leitmotiv idiot : «Un mec qu’a pas tourné un mètre de pellicule ne peut pas parler de cinéma» (lui peut en parler car il a laissé deux chefs-d'oeuvres à la postérité).
Avec le cinéaste chevronné qu’est Soral, à la trappe toutes les études cinématographiques et tous les ("connards de") critiques cinématographiques. Même Maurice Bardèche, auteur d'une Histoire du cinéma (et qui en tant que précurseur des négationnistes devrait avoir sa sympathie …) !
Ici il va utiliser un mot que ses partisans affectionnent particulièrement tant cela conforte leur fainéantise intellectuelle pour ne pas dire leur anti-intellectualisme primaire : «c’est de la branlette».
Prenons quelques exemples simples pour comprendre ce qu’est une «branlette» quant elle n'est pas espagnole : Jacques Bouveresse, c’est de la «branlette» philosophique, Pierre Bourdieu, c’est de la «branlette» sociologique, Claude Levi-Strauss, c’est de la «branlette» anthropologique, Claude Hagège c’est de la «branlette» linguistique, etc, etc, etc.
J’allais oublier Noam Chomsky qui, en plus d’avoir été sioniste (ce qui suffit pour être sévèrement condamné dans l’univers maladif soralien) n’est pas, selon notre génie national, un linguiste et dont les livres sont aussi ... de la «branlette».
Soral récapitule ensuite son parcours qui consiste à être «à fond dans tout ce qu’il fait» (Mais non Alain tout ne doit pas forcément se faire sur le modèle de tes pratiques sexuelles …).
Mais quant il y a «été à fond» (Comme avec les «sept cents femmes qu'il a baisé»), il s’en désintéresse.
Tout cela lui donne, comme dans sa «science des femmes», une (grande) «culture classique».
Dans notre "époque moderne", et à l’égal des grands hommes du passé (de Notre Glorieuse Europe, ajouterait les pédants du GRECE), c’est un «traditionaliste», un homme de la Renaissance et de l’Antiquité grecque, c’est un homme complet, un homme total (dirait l'idéologue d'extrême-droite Julius Evola).
On apprendra aussi, à rebours de ce que pensait ce fabricant de «branlettes» (encore un !) qu’était Dumézil que c’est la «division bourgeoise du travail» qui a fait que les hommes comme Soral, à la fois (grand) penseur et (grand) combattant (Grand Con battant), n’existent pratiquement plus (A part dans les rangs d'E&R)
En dernier lieu est récapitulé le cheminement intellectuel de notre plus grand essayiste vivant. Son livre sur la mode est «balaise» (sic). Il a révolutionné la sociologie de la mode.
Il est passé ensuite au roman après avoir «gardé un château pendant deux ans» (dans le cadre de sa démarche intellectuelle marxiste évidemment) ; Mais le public obtus ne s’est pas jeté sur cette merveille (Ce n’est pas grave, il a, depuis, avec les membres de sa secte politique, trouvé un nouveau public pour ce chef-d’œuvre … ).
Il s'est ensuite intéressé ensuite à l’aspect théorique de la drague (y compris à la Coupole …).
Depuis il a écrit un livre : "Son Combat" (contre l'Empire) - Sein Kampf en allemand - qui se vend par millions.
On n'en saura pas plus cette fois (mais ceux qui seraient en manque peuvent trouver sur internet de multiples vidéos dans lesquelles notre penseur développe, toujours avec "subtilité", sa profonde vision-du-monde).
- Soral en négationniste
- Pauvre Soral
- Un aboyeur sous-fasciste + suite
- Une biographie très détaillée
- Vu du Québec
- Le Grand Essai du Guru
- Sur son homophobie obsessionnelle
- Long article du "Grand Soir"
- Analyse détaillée de son médiocre essai
- Petit texte sur la girouette Soral
- Le "brave garçon" plus vrai qu'en naturel ...
- Une bio rapide
- Un clairvoyant portrait du petit guru par Olivier Mukuna
- Le cas soral, la casserole
- Alain Soral en économiste bien informé
- L'hystérie du médiocre
Et, pour information :
- Un ancien adhérent à E&R dégomme Soral ...
- Pour finalement cautionner un inénarrable crétin
- Comment le même comprend comprendre l'empire
- Quand la ND interroge très complaisamment AS
Citer un(e) auteur(e) n’est, bien entendu, pas forcément approuver tout ce qu’il ou elle a écrit. Je précise car entre autres commentaires idiots (partis à la poubelle) un crétin (de) militant (les pires) s’est cru malin en me faisant remarquer à propos du renvoi (ci-dessus) vers le site LMSI qu’entre Caroline Fourest ( Dont je parle dans un autre billet ) et Pierre Tevanian, il faut choisir.
Ici il va utiliser un mot que ses partisans affectionnent particulièrement tant cela conforte leur fainéantise intellectuelle pour ne pas dire leur anti-intellectualisme primaire : «c’est de la branlette».
Prenons quelques exemples simples pour comprendre ce qu’est une «branlette» quant elle n'est pas espagnole : Jacques Bouveresse, c’est de la «branlette» philosophique, Pierre Bourdieu, c’est de la «branlette» sociologique, Claude Levi-Strauss, c’est de la «branlette» anthropologique, Claude Hagège c’est de la «branlette» linguistique, etc, etc, etc.
J’allais oublier Noam Chomsky qui, en plus d’avoir été sioniste (ce qui suffit pour être sévèrement condamné dans l’univers maladif soralien) n’est pas, selon notre génie national, un linguiste et dont les livres sont aussi ... de la «branlette».
Soral récapitule ensuite son parcours qui consiste à être «à fond dans tout ce qu’il fait» (Mais non Alain tout ne doit pas forcément se faire sur le modèle de tes pratiques sexuelles …).
Mais quant il y a «été à fond» (Comme avec les «sept cents femmes qu'il a baisé»), il s’en désintéresse.
Tout cela lui donne, comme dans sa «science des femmes», une (grande) «culture classique».
Dans notre "époque moderne", et à l’égal des grands hommes du passé (de Notre Glorieuse Europe, ajouterait les pédants du GRECE), c’est un «traditionaliste», un homme de la Renaissance et de l’Antiquité grecque, c’est un homme complet, un homme total (dirait l'idéologue d'extrême-droite Julius Evola).
On apprendra aussi, à rebours de ce que pensait ce fabricant de «branlettes» (encore un !) qu’était Dumézil que c’est la «division bourgeoise du travail» qui a fait que les hommes comme Soral, à la fois (grand) penseur et (grand) combattant (Grand Con battant), n’existent pratiquement plus (A part dans les rangs d'E&R)
En dernier lieu est récapitulé le cheminement intellectuel de notre plus grand essayiste vivant. Son livre sur la mode est «balaise» (sic). Il a révolutionné la sociologie de la mode.
Il est passé ensuite au roman après avoir «gardé un château pendant deux ans» (dans le cadre de sa démarche intellectuelle marxiste évidemment) ; Mais le public obtus ne s’est pas jeté sur cette merveille (Ce n’est pas grave, il a, depuis, avec les membres de sa secte politique, trouvé un nouveau public pour ce chef-d’œuvre … ).
Il s'est ensuite intéressé ensuite à l’aspect théorique de la drague (y compris à la Coupole …).
Depuis il a écrit un livre : "Son Combat" (contre l'Empire) - Sein Kampf en allemand - qui se vend par millions.
On n'en saura pas plus cette fois (mais ceux qui seraient en manque peuvent trouver sur internet de multiples vidéos dans lesquelles notre penseur développe, toujours avec "subtilité", sa profonde vision-du-monde).
Note : Soral, quoiqu’en disent ses partisans, peut, à bon droit (Une
des preuves parmi d’autres étant qu’il ne s’est jamais désolidarisé du grand
délirant qu’est LLP), être accusé d’être un adepte de théories conspirationnistes ou de simplifications tellement
excessives qu’elles ouvrent la voie à celles-ci.
Pour celles ou ceux qui ont plus de facilité à comprendre un phénomène par la Vidéo que par le Livre. Voici deux liens pour comprendre les mécanismes qui amènent au conspirationnisme :
Pour celles ou ceux qui ont plus de facilité à comprendre un phénomène par la Vidéo que par le Livre. Voici deux liens pour comprendre les mécanismes qui amènent au conspirationnisme :
- Conférence de Marc Angenot
Un démontage magistral des sophismes soraliens :
- Partie 1
- Partie 2
- Partie 3
Quant il est démontré que Soral N'EST PAS un lecteur
- Soral le fumiste, Bloy, le lumineux
Quelques liens pour découvrir d'autres aspects de ce "brave garçon" Un démontage magistral des sophismes soraliens :
- Partie 1
- Partie 2
- Partie 3
Quant il est démontré que Soral N'EST PAS un lecteur
- Soral le fumiste, Bloy, le lumineux
- Soral en négationniste
- Pauvre Soral
- Un aboyeur sous-fasciste + suite
- Une biographie très détaillée
- Vu du Québec
- Le Grand Essai du Guru
- Sur son homophobie obsessionnelle
- Long article du "Grand Soir"
- Analyse détaillée de son médiocre essai
- Petit texte sur la girouette Soral
- Le "brave garçon" plus vrai qu'en naturel ...
- Une bio rapide
- Un clairvoyant portrait du petit guru par Olivier Mukuna
- Le cas soral, la casserole
- Alain Soral en économiste bien informé
- L'hystérie du médiocre
- Un ancien adhérent à E&R dégomme Soral ...
- Pour finalement cautionner un inénarrable crétin
- Comment le même comprend comprendre l'empire
- Quand la ND interroge très complaisamment AS
- Quand un crétin nazi de droite apporte son soutien à un national-socialiste «de gauche»
A propos de "Saidchomski" une anecdote amusante : Soral à qui j'avais envoyé pour information le premier texte ci-dessus m'accusa de me cacher sous un pseudo, ce pseudo ... Mais non mon pauvre Alain, nous étions déjà quelques uns à être capables de voir quelle baudruche tu étais ! Et aujourd'hui, hélas pour toi, nous sommes de plus en plus nombreux.
- Quatre copains du zombie: un, deux, trois, quatre,etc
Mais si l’on n’est pas convaincu, par tous ces liens, que
Monsieur Alain Soral est un «brave garçon» dont le niveau des capacités intellectuelles fait qu'il ne peut pas être autre chose que ce clown grotesque, je ne saurais trop
conseiller (à ceux qui sont un peu masochistes) de s’imposer au moins une fois
dans leur vie, l’écoute des quatre heures (six fois quarante minutes environ !!!) d’enregistrement mensuel que ce triste clown étale régulièrement sur
internet.
Il n’y aura alors que deux solutions. Soit ils seront convaincus de la profondeur des analyses de ce brave garçon et ils le rejoindront dans sa secte politique ; soit ils seront, comme moi, atterrés par le long délire obsessionnel de ce paranoïaque (on notera, par exemple, le nombre de fois où il dit "qu'il faut relier tout ça"...)
Il n’y aura alors que deux solutions. Soit ils seront convaincus de la profondeur des analyses de ce brave garçon et ils le rejoindront dans sa secte politique ; soit ils seront, comme moi, atterrés par le long délire obsessionnel de ce paranoïaque (on notera, par exemple, le nombre de fois où il dit "qu'il faut relier tout ça"...)
Note à l’attention des crétins (les autres peuvent
passer) sur l'usage des liens :
Citer un(e) auteur(e) n’est, bien entendu, pas forcément approuver tout ce qu’il ou elle a écrit. Je précise car entre autres commentaires idiots (partis à la poubelle) un crétin (de) militant (les pires) s’est cru malin en me faisant remarquer à propos du renvoi (ci-dessus) vers le site LMSI qu’entre Caroline Fourest ( Dont je parle dans un autre billet ) et Pierre Tevanian, il faut choisir.
Et bien non, je ne choisis pas ! Tous deux ont écrit
des choses qui me paraissent suffisamment étayées pour qu’on puisse les prendre
en considération. Chez Soral et ses partisans, je ne vois rien de tel. Ce n’est
là même pas une question «d’opinion» (pour
autant que des propos ouvertement antisémites aient la légitimité d’une opinion
…), c’est une question de respect envers certaines vertus intellectuelles.
Pour ce qui est de Saidchomski» (voir ci-dessus) qu’il ne
se soit pas rendu compte qu’en rejoignant l’équipe du "journaliste" Jean Robin, il est tombé de Charybde en Scylla (du tourbillon soralien dans l'écueil
robinogrotesque), cela n’enlève rien à la pertinence de certains aspects de
ses articles sur Soral.
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Je reproduis ici un commentaire ainsi que ma réponse
"Salut Mézigue !
Je vois que, contrairement à moi, tu n'es pas fatigué par la(rébarbative) critique (des bouffons) de l'ultra droite. Je t'en félicite, ce dernier article touche juste. Soral est assurément un excellent représentant de la société spectaculaire, un médiocre acteur (au sens théâtral du terme) politique qui ne fascine que des "spectateurs" masochistes pour lesquels il affirme lui-même n'avoir aucun respect."
Paresia
Fil "Alain Soral" du blog Paresia voir ICI
Je vois que, contrairement à moi, tu n'es pas fatigué par la(rébarbative) critique (des bouffons) de l'ultra droite. Je t'en félicite, ce dernier article touche juste. Soral est assurément un excellent représentant de la société spectaculaire, un médiocre acteur (au sens théâtral du terme) politique qui ne fascine que des "spectateurs" masochistes pour lesquels il affirme lui-même n'avoir aucun respect."
Paresia
Fil "Alain Soral" du blog Paresia voir ICI
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Bonjour Paresia,
A vrai dire si, un peu … Mais ce qui m’intéresse surtout en
cette affaire n’est pas seulement de dénoncer
la bouffonnerie mais de m’interroger sur les raisons qui font qu’elle
n’apparaît pas comme telle même à des gens qui sont, semble-t-il, équilibrés et
ayant un cerveau en état de fonctionnement correct
Après donc avoir répondu à certains partisans de Soral ayant
eu le courage de venir sur le fil de ton blog consacré à Soral, j’ai voulu aller « à leur rencontre ».
Leur site étant totalement verrouillé et censuré par
des petits soldats soraliens obtus pour qui il semble vital que la pensée de leur "guru", ou "chef
politique", ne soit pas remise en cause, je suis allé sur un terrain
« public ».
Etant donné que le
«succès» dont Soral se
targue viendrait d’après lui de tous ces internautes anonymes mais «courageux»
qui, grâce à ses vidéos, ont pu prendre connaissance du «message de vérité» qu’il délivre, j’ai pensé qu’il
serait tout de même étonnant qu’il n’y ait pas parmi eux quelques uns qui
acceptent de discuter hors censure.
Mais avant, pour bien comprendre comment fonctionne son
incontestable pouvoir de séduction, je me suis imposé le pénible visionnage
systématique de ses apparitions publiques ou privées. D’où ces trois premiers
billets :
- Billet 1 dans lequel, à travers le cas Tariq Ramadan, on peut suivre
quelle girouette paranoïaque est Soral
- Billet 2 dans lequel j’indique, à celles ou ceux qui n’ont pas le
temps de s’attarder sur ce «cas clinique», trois vidéos donnant,
pour qui sait écouter, une idée nette de
la nullité intellectuelle de ce pitre.
- Billet 3 dans lequel par le
biais de la vidéo d’un affrontement intellectuel entre
Caroline Fourest et Tariq Ramadan, je démontre en quelque sorte «mathématiquement»
à quel niveau intellectuel se situe réellement le petit essayiste
d’extrême-droite.
J’ai ensuite tenté la discussion avec certains de supporters
avec les résultats dont on peut prendre connaissance par ce Billet 4
C’est alors que j’ai découvert l’interview qui fait l’objet de ce cinquième billet.
Si dans certaines de ses envolées on pouvait éventuellement supposer que, bien
que passablement délirantes,
certaines de ses convictions ou «analyses» étaient bâties sur un
minimum de réflexions préalables et de réel travail intellectuel, avec cette
vidéo le doute n’est plus permis. Soral n’est qu’une outre remplie de bric à
brac pseudo intellectuel et ceux qui ne
s’en aperçoivent pas démontrent tout simplement leur très grande faiblesse sur
ce plan.
En toute honnêteté je dois dire que, suite à cette sorte
«d’enquête», mon sentiment,
vis-à-vis de cette marionnette médiatique,
a évolué.
Si, auparavant ce que
je croyais être (*) ses malhonnêtetés intellectuelles provoquaient en moi de
l’irritation (bien plus encore que la bêtise crasse, c’est la malhonnêteté
intellectuelle délibérée qui provoque
cette irritation allant parfois jusqu’à l’exaspération) je n’ai aujourd’hui qu’une indulgente pitié pour ce brave garçon qui, je pense, n’a pas bien mesuré au départ à quel
point ses odieux et surtout profondément débiles propos allaient l’entraîner dans une spirale médiatico-politique que,
contrairement à ce qu’il croit, il est incapable de maîtriser.
*
Il est difficile de se mettre dans l’esprit des
gens et donc de savoir dans quelle mesure ils peuvent se mentir à eux-mêmes en
disant qu’ils croient ou non à certaines théories et ont certaines convictions
mais aujourd’hui je pense que Soral croit réellement
en grande partie à ce qu’il dit ou écrit.
Tout autre est le sentiment que j’ai aujourd’hui pour un de ses mentors intellectuels dont je
crois que l’ostracisme dont il a été l'objet n’a pas seulement
pour raisons - contrairement à ce qu’affirment ses partisans - des divergences
idéologiques mais bien ce qu’il faut ne pas hésiter à appeler sa malhonnêteté
intellectuelle.
A cet égard ce livre mériterait, comme la vidéo de Soral, d’être analysé pour ce
qu’il est : l’histoire édulcorée (**) d’un professionnel de l’esbroufe intellectuelle
…
(**) Pourquoi ne parle-t-il pas, par exemple, des liens qu'il a toujours entretenu avec les figures les plus importantes de l'extrême-droite antisémite ? Pourquoi n'indique-t-il pas dans sa bibliographie sa participation à un livre sur l'art nazi ?
Pour entrouvrir ce débat, on peut dire que si effectivement, comme l’écrit Pierre-André Taguieff dans
son livre «Sur la nouvelle droite» (pages 314-336),
Alain de Benoist n’est pas un « nazi
masqué », il faut toute la naïveté politique du gentil Jean-Yves Camus pour ne voir dans la nouvelle droite qu’un innocent cénacle d’intellectuels de droite dissidents...
Pour prendre connaissance des différents courants idéologiques appelés "nouvelle droite", la thèse de Stéphane François est, à ce jour, la meilleure référence.
Une qui ne s'y est pas trompé est "Héloïse" dite "El Lobo" ; auteur d'un texte apologétique délirant sur Soral (Voir ICI) et grande lectrice d'Alain de Benoist (Voir ICI)
Note à propos des commentaires :
Comme on peut facilement le vérifier sur le blog Paresia (Voir lien ci-dessus) , je suis prêt à discuter avec les (éventuels ?) soraliens sincères. La preuve également ICI et LA
Par contre, tous les commentaires contenant de simples appréciations ou des affirmations péremptoires, prouvant que le lecteur n'a pas vraiment lu ou rien compris à ce qu'il a pourtant sous les yeux, sont envoyés à la poubelle. Les insultes des crétins aussi ...
Pour les mal-comprenants :
J'INSISTE !!! Ne vous fatiguez pas à rédiger des commentaires qui ne sont pas en conformité avec ce qui est dit ci-dessus ; en un clic ils sont effacés ...
En rouge parce qu'il y encore beaucoup trop de mal-mal-mal-comprenants ...
Note à propos de l’orthographe :
Les gens qui défendent des idées d’extrême-droite le font entre autres raisons à cause de motivations d’ordre puriste. Leurs fantasmes de pureté appliqués aux gènes peuvent aussi s’appliquer dans un autre domaine.
Comme ils ne peuvent régenter et purifier la société comme ils le voudraient, certains se font, à défaut d’être des chasseurs «d’étrangers», des pisteurs de manquements aux règles grammaticales (alors sacralisées).
Généralement incapables de répondre sur le sens de ce qui est écrit, avec un acharnement semblable à celui qu’un soralien qui défend son guru, ils s’attachent à la forme de la façon la plus bornée qui soit.
On trouve sur tous les forums de ces petits profs ratés. A ceux-ci, je conseille cette lecture , ce texte-audio et aussi cette autre lecture
On y apprend entre autres choses que «Pour Hitler, l'espéranto est une langue représentant la conspiration juive et la franc-maçonnerie ; pour Staline il est lié au cosmopolitisme bourgeois».
Nul doute que le "brave garçon", dont il est question dans ce billet, et ses sbires, partagent cette opinion …
Pour ce qui est des éventuelles "fautes" qu’il y a dans ce billet, j’invite ces puristes à me les signaler … aimablement...
Pour prendre connaissance des différents courants idéologiques appelés "nouvelle droite", la thèse de Stéphane François est, à ce jour, la meilleure référence.
Une qui ne s'y est pas trompé est "Héloïse" dite "El Lobo" ; auteur d'un texte apologétique délirant sur Soral (Voir ICI) et grande lectrice d'Alain de Benoist (Voir ICI)
Note à propos des commentaires :
Comme on peut facilement le vérifier sur le blog Paresia (Voir lien ci-dessus) , je suis prêt à discuter avec les (éventuels ?) soraliens sincères. La preuve également ICI et LA
Par contre, tous les commentaires contenant de simples appréciations ou des affirmations péremptoires, prouvant que le lecteur n'a pas vraiment lu ou rien compris à ce qu'il a pourtant sous les yeux, sont envoyés à la poubelle. Les insultes des crétins aussi ...
Pour les mal-comprenants :
J'INSISTE !!! Ne vous fatiguez pas à rédiger des commentaires qui ne sont pas en conformité avec ce qui est dit ci-dessus ; en un clic ils sont effacés ...
En rouge parce qu'il y encore beaucoup trop de mal-mal-mal-comprenants ...
Note à propos de l’orthographe :
Les gens qui défendent des idées d’extrême-droite le font entre autres raisons à cause de motivations d’ordre puriste. Leurs fantasmes de pureté appliqués aux gènes peuvent aussi s’appliquer dans un autre domaine.
Comme ils ne peuvent régenter et purifier la société comme ils le voudraient, certains se font, à défaut d’être des chasseurs «d’étrangers», des pisteurs de manquements aux règles grammaticales (alors sacralisées).
Généralement incapables de répondre sur le sens de ce qui est écrit, avec un acharnement semblable à celui qu’un soralien qui défend son guru, ils s’attachent à la forme de la façon la plus bornée qui soit.
On trouve sur tous les forums de ces petits profs ratés. A ceux-ci, je conseille cette lecture , ce texte-audio et aussi cette autre lecture
On y apprend entre autres choses que «Pour Hitler, l'espéranto est une langue représentant la conspiration juive et la franc-maçonnerie ; pour Staline il est lié au cosmopolitisme bourgeois».
Nul doute que le "brave garçon", dont il est question dans ce billet, et ses sbires, partagent cette opinion …
Pour ce qui est des éventuelles "fautes" qu’il y a dans ce billet, j’invite ces puristes à me les signaler … aimablement...
voici un petit article qu e vous trouverez certainement interressant :
RépondreSupprimerhttp://2ccr.unblog.fr/2012/09/12/sectes-et-mouvements-d%E2%80%99extreme-droite/
Merci, il l'est mais si vous lisez les (quatre) commentaires, vous verrez que je suis déjà passé par là ...
SupprimerUn excellent portrait du clown par Jules Elysard
RépondreSupprimerhttp://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/pauvre-soral-139687
A noter en particulier, en fin d'article, la description prémonitoire par Bourdieu du petit guru ...
Alain Soral fait des pâtés dans son bac à sable en forme de divan :
RépondreSupprimerCe pauvre type a tellement RIEN* à dire sur Bourdieu (Cf Partie 5 de sa nouvelle fadasse logorrhée de la rentrée) qu'il le traite de "couillon" (sic).
Les derniers tours de piste de ce clown sont vraiment lamentables ...
* Mais ce n'est pas entièrement de sa faute, c'est son compère du (feu) torchon Flash, le compilateur d'extrême-droite A2B qui lui a affirmé que Bourdieu n'avait aucun intérêt ...
Soral c'est du néo-fascisme conjuguant un logos vaguement marxisant à une rhétorique christiano-nationaliste, agrémenté d'insultes et d'attaque ad-hominem. Le plus triste dans l'histoire c'est qu'il enfume pas mal de monde, notamment des néophytes qui ne s'intéressaient guère à la politique et aux sciences humaines et qui en l'écoutant, ont l'impression de comprendre le monde tout en rigolant, puisque Soral, en désignant l'ennemi responsable de tous nos maux, l'américano-sionisme liberto-financier, simplifie à outrance la compréhension de notre monde.
RépondreSupprimer@ Tietie007
SupprimerJe me réjouis de votre lucidité ...
Il "enfume pas mal de monde", effectivement, mais il semblerait que ce qui l'avait dans un premier temps servi (Le côté dissident face aux médias mainstream qui plaît à beaucoup de jeunes ados un peu paumés) se retourne contre lui. Une partie de plus en plus grande de son public (En tous cas la partie la plus intelligente) s'interroge.
Lui-même oscille (C'est très net dans ses dernières vidéos) entre la pure paranoïa (Mes ennemis sont manipulés par Satan) et, peut-être, les crises de doute.
Il n'a jamais autant mérité cette qualification de "brave garçon" que je lui avais attribué ; "brave garçon" dans le sens qu'il s'est lancé dans le discours politique extrémiste sans bien mesurer toutes les conséquences qui allaient, A TERME, en découler pour lui (Même dans un pays comme le nôtre insulter un Ministre de l'Intérieur de la façon dont il le fait peut avoir de très fâcheuses conséquences).
Ici on peut que condamner à nouveau ceux qui lui ont mis de telles idées dans la tête. Je parle ici, bien évidemment, de celui que, dans ces milieux,on présente abusivement comme "philosophe"...
Le monde diplomatique qui pond un article sur le phénomène Soral.
RépondreSupprimerOui. Voir ici : http://tatamoche.blogspot.fr/2013/10/les-partisans-de-soral-et-le-monde.html
SupprimerUn portrait très juste du vieux guignol : http://leblogresdedom.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/02/14/alain-soral-genese-de-l-hysterie-du-mediocre.html
RépondreSupprimerDeux nouveaux (très) bons articles sur le bouffon savoyard :
RépondreSupprimerhttp://laicard-belge.blogspot.fr/2013/11/breve-chronique-de-dialogues-desaccordes.html?showComment=1384716998593#c6008672105019413794
http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/170913/soral-et-dieudonne-complotisme-ou-parresia
Quelques vieux textes sur Alain Soral : http://www.e-torpedo.net/article.php3?id_article=1453%27
RépondreSupprimerA suivre aussi : http://lokidor.over-blog.com/sorale-a-une-analyse-subjective-et-opportuniste-8
RépondreSupprimerAlain Soral en minet : http://www.youtube.com/watch?v=xerwo5T9EYs&feature=fvwrel
RépondreSupprimerUn article d'analyse du Parti des Indigènes de la République :
RépondreSupprimerhttp://indigenes-republique.fr/soral-le-petit-soldat-de-l-empire/
Une excellente conférence de Philippe Corcuff sur le nazillon Sot-Raël :
RépondreSupprimerhttp://unipoplyon.fr/articles/cours/trois-figures-actuelles-du-brouillage-ideologique-laurent-bouvet-jean-claude-michea-alain-soral
http://forum.hardware.fr/hfr/Discussions/Loisirs/dissidence-alain-compagnie-sujet_79204_1.htm
RépondreSupprimerVotre connaissance de la nouvelle droite et de Alain de Benoist nous serait très utile sur le forum hardware ! Nous construisons un portfolio en première page , je vous invite a nous rejoindre .
Usul a consacré sur une vidéo sur bhl et a parlé deux secondes de Soral
https://www.youtube.com/watch?v=-pGTU-t_Duw
Merci pour vos nouveaux liens.
SupprimerPour ce qui concerne Alain de Benoist. Vous pouvez me contacter à partir de l'adresse mail indiquée sur ce blog : l_mezigue@orange.fr
Je vous félicite, ami Mézingue. Merci pour votre rigoureuse contribution critique ainsi qu'à vos nombreux liens associés très intéressants.
RépondreSupprimerJe n'hésite pas à relayer, entre deux plis de la vaste Toile, votre Blog propre à donner des outils critiques de qualités pour démystifier ce sinistre branleur qu'est Alain Soral- ainsi que d'autres énergumènes de même farine.
Que penser vous de ce court article qui traite d'une manière éclairante de la raison fondamental qui fait que les individus refuse puissamment de se rendre à toute évidence, même devant les faits et les arguments les plus solides qui soit?!
Voici le lien: http://ploum.net/le-cout-de-la-conviction/
ILLUSTRATION DU CONCEPT DE "COUT DE CONVICTION"( à rapprocher de la dissonance cognitive de FESTINGER)
Tout ça pour s'épargner l'immense inconfort intellectuel de repenser à neuf un édifice idéologique mal fondé ou défectueux!
Car il est difficile d'assister à la ruine de ses propres convictions idéologiques, cultivées depuis si longtemps, et qui nous aidaient à habiter si bien, si confortablement, dans le monde!
Il faut imaginer l'individu x édifiant toute une construction idéologique pour y habiter bien et qui y habite en effet fort confortablement pendant un certain nombre d'années. Tout va bien. Jusqu'au jour où un mauvais vent- le démon du doute- s'invite chez soi... et fait trembler l'édifice de haut en bas.... Ce tout petit doute entré en soi clandestinement plonge x dans l'embarras et le pousse à s'interroger: "Que dois-je faire?" « Que dois-je penser ? ». Il sait depuis toujours, quoique confusément, qu'il y avait un sérieux problème relatif aux fondations mêmes de TOUT son édifice idéologique intérieur, mais il ne veut pas s’attaquer aux FONDATIONS mêmes, il préféra les réformes de façades.... En effet, ça coute bien trop chère d'envisager de recommencer à nouveau frais tous les gros œuvres, les FONDATIONS.... Ça coute trop chère de s'avouer à soi-même qu'on s'est en vérité trompé sur toute la ligne, qu'on a bâclé le travail, qu'on a dépensé en vain quantité de temps, d'idées et d'espérance pour rien! Ça coute trop chère de penser qu'on a été si bête!
Imaginez maintenant que cette façon d'édifice idéologique, mal bâti et branlant, est l'apanage de toute une société, même qu'il en est DIRECTEMENT issu! Que va-t-il se passer? La société, et la multitude qui la compose, va d'une manière démultipliée renforcer x à ne surtout RIEN CHANGER dans son édifice idéologique, pourtant objectivement inadéquat! Imaginons encore que dans cette société intervient un certain z, un étranger, qui dit sensément a x qu'il doit impérativement changer les fondations de son édifice idéologique, comme d'ailleurs lui -même l'a fait et avec un profit réel dans son propre pays avant d'en être toutefois chassé par les autre, car ce changement leur coutaient idéologiquement trop cher à envisager... Il dit aussi d’une manière très sage a x de ne pas tenir compte de la sottise des autres, car ces derniers sont trop souvent excités et vaincus par le fond de paresse mêlés d’habitudes et de préjugé qui les constituent, en effet, la plupart préfèrent plutôt galoper confortablement dans la direction de l’imagination, de la négation des faits et de la raison plutôt que vers les libre examens rationnel ! X alors, comme de juste, entre en crise profonde... Quoi faire? Qui croire? Qui a raison et qui à tort dans cette affaire?
RépondreSupprimerIl apparait que la société pèse formidablement avec le poids de ses habitudes et pratiques puissamment diffusées à même la multitude. La société affirme en effet: "Nous sommes la Tradition; nous sommes la Multitude, consultez vos préjugés les plus anciens, vous avez AVANTAGE à nous croire plus qu'un AUTRE. Car Nous sommes Votre Passé, Votre Patrie, Votre habitude, Votre sang... CONTRAIMENT à cet AUTRE, ce sombre étranger, avec ses étranges idées subversives, à peine débarqué sur Notre sol national, Notre sol sacré, etc. ( qui sait d'ailleurs quelle est son intention véritable...., il est sans doute venu chez Nous uniquement pour nous nuire et empoisonner Notre héritage, Notre cohésion, Notre sang!)
Gageons que la voie de la raison, d'où qu’elle vienne, sera tôt recouverte ou fortement parasité par les tonnes de sédiments de l'Erreur et de la folie du plus grand nombre, tant et si bien qu’elle apparaitra à x comme parfaitement impraticable ou dangereuse ou risible, voire carrément inexistante... Ainsi, x, bien que profondément ébranlé dans ces convictions, choisira plutôt de se rendre dans la voie qui coutera le moins à ses convictions, profondes et anciennes, renforcées qu'elles sont par le poids démesuré de la société et de la multitude qui le tient puissamment en bride!
Tout ceci semble indiquer que la lutte contre la bêtise est perdue d'avance... Je n'en crois rien!
RépondreSupprimerIl faut se battre, rendre coup pour coup, dans l'arène des idées!
Certes, les idées vraies manquent à s'imposer dans la multitude parce qu'elles sont par natures plus complexes et difficiles d'accès que les autres idées ( confuses ou mutilées) Ainsi les idées fausses se diffusent plus facilement par ce qu'elles sont par nature plus nombreuses et disponibles que les idées vraies.
Mais, les idées vraies sont plus fortes et puissantes, plus encré dans le réel, avec quoi elles font corps; tandis que les idées imaginaires, elles, sont toujours vacillantes, instables- irréelles-! Aussi, une seule idée vraie en appelle une autre, etc.
L'esprit rationnel vit en parfaite adéquation avec le monde qui l'environne, tandis que l'esprit irrationnel est sans cesse balloté par les caprices tyrannique de son imagination changeante qui, mal assuré, marche comme sur des sables mouvants!
L'esprit rationnel l'emportera tôt ou tard sur l'esprit irrationnel, c'est une simple affaire de temps.... Dans un monde objectivement rationnalisé, il ne peut y exister, dans le long terme, que des êtres rationnels, des êtres en parfaitement adéquations avec leur propres milieu d'existence!
Pour finir, je n'ai rien contre l'imagination en tant que telle, elle est un bien précieux quand elle s'exerce consciemment comme telle, non quand elle tourne en roue libre et se substitue au réel lui-même!
En attendant, Il faut combattre la bêtise sur tous les fronts- y compris la sienne propre-, sans relâche!
Merci pour vos trois commentaires. J'ai, par contre, bien peur d'être plus pessimiste que vous. Ce n'est pas tant la bêtise qui risque de triompher - elle domine déjà largement - mais la violence.
RépondreSupprimerNous sommes effectivement dans une période de l'histoire pleine de tensions palpables, d'incertitude et de replis identitaires potentiellement explosifs...
RépondreSupprimerMais il y en eu d'autres et des pires!
Peut-être est-il bon que la violence arrive parfois. Ainsi, les antagonismes apparaîtront alors au grand jour, sans fard. A chaque fois que l'extrême droite a été matée pour de bon- d'ailleurs ces gens-là ne comprennent que la violence-, il s'en est suivit de longues plages de silence sur eux. Et puis cette violence va peut-être modifier pour le mieux notre formation sociale déficitaire, pour apporter du progrès social. Certes, la violence est détestable et ces conséquences imprévisibles, mais elle est parfois nécessaire... Car sans elle, par exemple, nous n'aurions pas eu la Révolution française!
Bien que j'aurais (Mais pas publiquement, via un courriel ou un MP sur FB) beaucoup d'objections à vous faire, peut-être avez-vous raison, peut-être faut-il passer par là ...
RépondreSupprimer