Sur les questions que posent cette idée de dialogue via
internet lire ICI et ICI
Bien que celui avec Frédéric Dufoing, soit, semble-t-il, mort-né, il existe heureusement plusieurs autres dialogues en cours avec des gens plus ou moins intéressés par cet intéressant phénomène qu’est le succès (au moins sur internet) du «soralisme».
Bien que celui avec Frédéric Dufoing, soit, semble-t-il, mort-né, il existe heureusement plusieurs autres dialogues en cours avec des gens plus ou moins intéressés par cet intéressant phénomène qu’est le succès (au moins sur internet) du «soralisme».
Je remercie au passage ces gens qui, malgré que je ne les
ménage pas toujours, gardent la courtoisie qui sied à ce genre de libres
dialogues.
Etant donné l’intérêt que ce genre d’échanges provoque (Déduction faite à partir des compteurs de mon blog), ils seront, si j'en ai le temps et s'il s'avère qu'ils apportent un plus à ceux pour qui c'est déjà le cas, peut-être publiés.
En attendant on peut - si on est las de lire, ici ou là, les courts commentaires imbéciles d’ex-soraliens aigris d'avoir été séduits - lire (ou relire) ces dialogues :
Dialogue 3
Réponse à un commentateur crétin en particulier (détente) :
Parmi les nombreux commentaires qui, avec ceux comprenant des insultes et autres débilités anonymes, ne sont pas validés sur ce blog et ne le seront jamais, il y a ceux, fréquents, de ce que j’appelle les crétins satisfaits, qui surfant de blogs en blog, et à, l’identique de chiens errants qui marquent leur territoire de leur urine, «prennent la plume» pour dire ce qu’ils croient être quelque chose d’intelligent.
Il se trouve que lisant très récemment un livre Clément Rosset que je n’avais, jusqu’à maintenant, pas lu, j’ai pu prendre connaissance qu’il avait été, lui aussi, à quarante ans de distance, la victime de la hargne bornée, de la bêtise pontifiante et de toutes ces manifestations de la «connerie humaine» que connaissent bien tous ceux dont l’image sociale fait qu’ils reçoivent un courrier important (Le commentaire demandant encore moins d’effort que la rédaction et l’envoi d’un courrier postal, ce phénomène de défoulement a pris une ampleur considérable)
Il se trouve également que lisant les dernières pages de ce livre - celles où sont reproduits quelques uns des courriers que des minables ou autres bigots politiques avaient adressés au philosophe – je découvre en attente sur mon blog un commentaire de cet acabit.
Notre anonyme me donne son sentiment sur ce fil
Répondre une énième fois dans le détail à ce que brave garçon croit probablement être une pensée originale et parfaitement fondée mais qui n’est, à l’identique de tant d’autres commentaires, qu’une manifestation verbale d’une nullité intellectuelle et existentielle, j’avoue n’en avoir ni l’envie, ni, de ce fait le courage.
Je livre juste les dernières lignes de ce commentaire pour qu’ainsi d’autres crétins tentés par un défoulement débile de cette sorte ne se fatiguent pas à rédiger à leur tour ce qu’ils «pensent» (Ce que leur cerveau de minus est capable de déféquer) :
«je tombe par hasard sur votre blog et je me dis qu'il y a vraiment des malades mentau sérieusement atteints. Bonne convalescance et pensez à consulter, sérieusement, ce n'est pas une blague (…). Ca confine à la maladie mental votre histoire et vous êtes en plus aggressif comme tout»
Pour information cet anonyme, qui se dit mensongèrement être éloigné de la moindre admiration pour le crétin Robin, ne le savait apparemment pas mais il partage avec ce dernier, avec le nazillon Ferrier et avec l'attardé mental "Hoplite" la même tendance à psychiatriser ceux qu’ils sont ontologiquement inaptes à comprendre.
Bref c’est un de ces petits fachos dans l'âme à qui internet à facilité le pullulement reproductif alors qu’auparavant ils n’avaient l’occasion d’ouvrir leurs becs puants que lorsque l’occasion s’en présentait
La suite de ce fil ICI
Nouvelle note à propos des commentaires :
Si je n’ai validé finalement qu’une proportion fort
faible des commentaires qui sont envoyés sur ce blog, c’est parce que
l’observation de ce qui se passe sur de nombreux blogs m’a conduit à
penser que cela n’apporte généralement
pas grand-chose du fait que les commentaires se chevauchant les uns les autres, il n’en résulte qu’une dissonance
qui si elle était sonore on appellerait une cacophonie.
On ne peut donc que comprendre ceux qui finissent par interdire cette possibilité aux lecteurs de passage.
J’ai pour ma part encore la croyance qu’il est tout de même possible de dialoguer par le biais de l’anonymat d’un blog et c’est pour cette raison que j’ai indiquée une adresse-mail. J’invite dorénavant ceux qui, comme l’anonyme s’étant exprimé sur ce fil ont, ou pensent avoir, quelque chose d’intéressant à me dire, à passer par ce biais.
On ne peut donc que comprendre ceux qui finissent par interdire cette possibilité aux lecteurs de passage.
J’ai pour ma part encore la croyance qu’il est tout de même possible de dialoguer par le biais de l’anonymat d’un blog et c’est pour cette raison que j’ai indiquée une adresse-mail. J’invite dorénavant ceux qui, comme l’anonyme s’étant exprimé sur ce fil ont, ou pensent avoir, quelque chose d’intéressant à me dire, à passer par ce biais.
Réponse à un commentateur crétin en particulier (détente) :
Parmi les nombreux commentaires qui, avec ceux comprenant des insultes et autres débilités anonymes, ne sont pas validés sur ce blog et ne le seront jamais, il y a ceux, fréquents, de ce que j’appelle les crétins satisfaits, qui surfant de blogs en blog, et à, l’identique de chiens errants qui marquent leur territoire de leur urine, «prennent la plume» pour dire ce qu’ils croient être quelque chose d’intelligent.
Il se trouve que lisant très récemment un livre Clément Rosset que je n’avais, jusqu’à maintenant, pas lu, j’ai pu prendre connaissance qu’il avait été, lui aussi, à quarante ans de distance, la victime de la hargne bornée, de la bêtise pontifiante et de toutes ces manifestations de la «connerie humaine» que connaissent bien tous ceux dont l’image sociale fait qu’ils reçoivent un courrier important (Le commentaire demandant encore moins d’effort que la rédaction et l’envoi d’un courrier postal, ce phénomène de défoulement a pris une ampleur considérable)
Il se trouve également que lisant les dernières pages de ce livre - celles où sont reproduits quelques uns des courriers que des minables ou autres bigots politiques avaient adressés au philosophe – je découvre en attente sur mon blog un commentaire de cet acabit.
Notre anonyme me donne son sentiment sur ce fil
Répondre une énième fois dans le détail à ce que brave garçon croit probablement être une pensée originale et parfaitement fondée mais qui n’est, à l’identique de tant d’autres commentaires, qu’une manifestation verbale d’une nullité intellectuelle et existentielle, j’avoue n’en avoir ni l’envie, ni, de ce fait le courage.
Je livre juste les dernières lignes de ce commentaire pour qu’ainsi d’autres crétins tentés par un défoulement débile de cette sorte ne se fatiguent pas à rédiger à leur tour ce qu’ils «pensent» (Ce que leur cerveau de minus est capable de déféquer) :
«je tombe par hasard sur votre blog et je me dis qu'il y a vraiment des malades mentau sérieusement atteints. Bonne convalescance et pensez à consulter, sérieusement, ce n'est pas une blague (…). Ca confine à la maladie mental votre histoire et vous êtes en plus aggressif comme tout»
Pour information cet anonyme, qui se dit mensongèrement être éloigné de la moindre admiration pour le crétin Robin, ne le savait apparemment pas mais il partage avec ce dernier, avec le nazillon Ferrier et avec l'attardé mental "Hoplite" la même tendance à psychiatriser ceux qu’ils sont ontologiquement inaptes à comprendre.
Bref c’est un de ces petits fachos dans l'âme à qui internet à facilité le pullulement reproductif alors qu’auparavant ils n’avaient l’occasion d’ouvrir leurs becs puants que lorsque l’occasion s’en présentait
La suite de ce fil ICI
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