La
vive et
très rapide réaction du crétin
ICI
J’ai
expliqué ICI la seconde raison, qui m’avait - bien qu’une telle idée me répugnait
profondément de part le narcissisme que cela manifeste le plus souvent - fait
ouvrir ce blog. La première avait été de me donner la possibilité de pouvoir répondre à
un calomniateur profondément débile (Cet imbécile, par exemple, affirmait sur
son blog d’attardé mental, entre autres gamineries débiles, que je buvais «10 litres
de gros rouge par jour» (sic) - ce qui amusait ceux qui me connaissent IRL)
qui a maintenant, je crois, déserté la Toile.
Lorsque je lui demandais ce qu’il pensait de ce torrent de sottises qui étaient écrites à mon encontre, un cybernaute ami me confia qu'il avait eu honte pour lui en le lisant ; tout comme nous pouvons avoir honte dans le réel lorsque un imbécile étale sans aucune retenue ce que tout son entourage sait être une preuve de la bêtise la plus sotte ; celle qui n'a pas et n'aura peut-être jamais les moyens de se rendre compte qu'il en a été l'incarnation ce jour là.
J’ai déjà
donné, sur ce blog, un exemple de ce genre de situation
désagréable (Il est évident à voir certaines de leurs mimiques que les autres participants à cette émission sont gênés pour lui des âneries que notre tintin simplet débite avec l'assurance d'un Bouchet et d'un Pécuvard)
La seconde
raison étant donc, comme le savent maintenant mes lecteurs réguliers, de me
moquer des bouffons d'extrême-droite
J’avais
décidé d’arrêter là – ne voyant plus grand chose à dire de plus que ce qui a été dit
à propos du simplet d’en
quête de débats (sans intérêt) et sur le guignol stalino-hitlérien – mais, la
«rencontre» avec un CAS de crétin néo-droitiste de la nouvelle génération*,
un certain Laurent Cantamessi, m’incite à reprendre ma plume.
* Quel âge peut donc bien avoir ce représentant de l’horreur idiocratique qui n'a apparemment pas les moyens intellectuels de se rendre compte qu'il incarne bien trop souvent dans ce qu'il écrit, non pas l'idiotie au sens étymologique du mot, ou au sens artistique, mais bien la bêtise, la bonne grosse bêtise réac - celle qui affirme, de manière péremptoire ou vaguement ironique, sans rien savoir de la réalité du monde ?
On a pu déjà
lire ICI, sur six de mes commentaires (à partir du 28 août 2013), les bons sentiments que j'ai envers cette petite peste menteuse mais je veux y revenir car on a là
une sorte d’archétype du blogueur crétin d’obédience néo-droitiste qui, tout en ne professant apparemment pas
des idées racistes ou antisémites comme mes deux bouffons préférés, fait tout de même partie de cette bêtise
ordinaire qu’un Alain Roger (j’y
reviendrai) nous décrit, dans son dernier livre, avec tant de malice et de grâce.
J’avais, sur
ce fil, écrit une sorte d’appel - à ce que j’espérais être des néo-droitistes sinon
intelligents, au moins honnêtes intellectuellement - pour qu’ils viennent me donner la réplique.
On sait maintenant ce que cela a donné ; et j’annonçais donc, dans un fil suivant
ne plus avoir d’espoir sur le sérieux intellectuel dont serait capable les
membres de cette famille (méta)politique
C’est par un
demi-hasard, comme on le verra ci-dessous, que je retombais sur un des membres
les plus infatué de cette tribu. (A cet égard le "nous" qu'il emploie souvent indique cet esprit de tribu)
Comme je
l’ai fait avec les supporters du vieux boxeur, j’allais à lui puisqu’il était
peu probable
qu’il vienne à moi (J’ai appris par certains indices et autres sources que ce
blog était connu de cette gente mais qu’aucun de ces petits prétentieux ne se
risque à venir discuter de peur, sans doute, que je les mettent face à leur
médiocrité et au ridicule de leurs prétentions)
On trouvera
donc ci-dessous, en première partie de billet, un dialogue avorté. Quand
j’écris «dialogue», c’est une mauvaise façon de parler car en réalité il n’y a pas eu
«dialogue», il y a eu monologue d’un
crétin (Ce mot aurait pu être inventé rien que pour lui) tellement imbu de lui-même que le nez sur une
m…., il continue à dire que cela sent la rose et que si l'odeur le poursuit, il met la tête dans le sable.
Note : Les déclarations pontifiantes du petit réac et mes réponses ; les commentaires additionnels en noir.
Mézigue 10
août 2013
Bonjour.
J’ai découvert votre article grâce à la mention qui en était faite dans un
commentaire de cet excellent article . Je vous indique, à mon tour, un lien vers
lequel vous pourriez vous tourner.
Des idiots
(C'est le nom qu'ils se donnent ...) 22 août 2013
Merci pour
le lien et le commentaire. L'article que vous citez est en effet intéressant.
Il énonce en tout cas deux vérités auxquelles nous nous rattachons ici. 1)
L'ennemi de De Benoist est l'universalisme. C'est en partie vrai et c'est le
nôtre aussi. Ce que l'auteur appelle l'ethno-différentialisme de De Benoist
peut aussi être assimilé à une défense de la notion d'altérité face au
nivellement "multiculti". 2) Les positions de De Benoist heurtent de
plein fouet une gauche qui doit repenser son logiciel pour lui faire face. En
effet, une partie de la gauche, prisonnière d'un universalisme dogmatique qui
détermine une quasi religion du langage performatif (ce qu'on appelle
quelquefois par dérision la novlangue à tort ou à raison et sur laquelle Jaime
Semprun à écrit un essai brillant) peine à renouveler son "logiciel",
campée sur des positions quasi-inquisitoriales. C'est un peu le défaut de
l'auteur de l'article que de retomber dans ce travers qui consiste à occulter
l'évolution intellectuelle d'un auteur au bénéfice d'une tendance très
soviétique à ne considérer dans une biographie que ce qui peut servir de preuve
à charge doctrinale. Cette tendance est encore plus marquée dans le deuxième
site dont vous indiquez le lien, où le procès d'intention politique et la
pesanteur de la pensée binaire gauche-droite occupe tout l'espace, à longueur
de commentaires. De Benoist peut-il aujourd'hui encore être considéré comme un
auteur d'extrême-droite? A vrai dire, entreprendre de répondre à cette question
implique de chausser les bésicles singulièrement étriquées d'une pensée
clivante sentant la poussière et la naphtaline. A force de vouloir scruter
l'identité de tout un chacun pour étiqueter à tour de bras, l'abus de lunettes
finit par rendre aveugle l'apprenti commissaire politique. De Benoist est-il
toujours d'extrême-droite? A vrai dire chez les idiots on s'en tape un peu. Il
n'est pas impossible que le principal intéressé s'en contrefiche également.
Il faut
s’arrêter à cette première réponse tant elle montre l’épate grotesque à laquelle ce crétin
(j’adore cette concordance parfaite entre ce pitre et ce mot) s’essaye ici avec celui
qui l’interroge. A l’occasion d’une
phrase qui ne veut strictement rien dire («une partie de la gauche, prisonnière
d'un universalisme dogmatique qui détermine une quasi religion du langage performatif
(…) ») – c’est qu’il se prend réellement pour un intellectuel ce petit
journaliste de l’ultra-droite ! – mon TC (très crétin) lâche un nom qui,
croit-il, va montrer à son interlocuteur
(je veux dire à celui à qui il daigne donner une indication sur sa grande
culture) qu’il n’est certainement pas le réac que je m’imagine mais quelqu’un
qui, comme son Maître à penser, est à la pointe de la pensée subversive (On
sait comment la nouvelle droite a eu l’incroyable culot de prétendre être quasiment née en 68. Ce alors que ses racines idéologiques remontent bien plus
loin qu’elle ne veut l’avouer. A tel point que même J-Y Camus, l'auteur de l'article signalé dans une phrase précédente, s'en est aperçu ...)
Mais plus
intéressant que cette mise en évidence
du côté infatué et creux de ce petit journaliste-idéologue est de voir ce qu’il a retenu de l’excellent
et lucide article de Frédéric Lowenfeld sur le dernier livre du pape de la ND.
La réponse est facile : rien ! Ce fumiste n’a, semble-t-il, lu qu’un intertitre car s’il a lu attentivement le texte, on est
forcément obligé de se dire que ce pauvre garçon - sorte de David L’épée en
moins épais - n’a rien compris à ce qu’il
a lu.
Nettement
plus amusant est l’avis qu’il donne sur l’autre lien qui lui a été indiqué (il
n’avait alors pas compris que j’en étais
l’auteur). Fidèle au brouillage
idéologique que fabrique en permanence cette famille idéologique, notre
causeur-idiot récuse la question de savoir si son grand guide intellectuel
pourrait être positionné sur un échiquier politico-idéologique (En fait il n’a
pas compris que la question est rhétorique et qu'elle n’est pas de savoir s’il est localisable dans le champ politique, dans son sens le plus trivial, mais de savoir où Alain de Benoist se
situe dans le champ idéologique aujourd’hui). Il «s’en tape un peu» écrit-il. On notera par contre qu’il ne semble pas s’en
taper que continue à exister une gauche intellectuelle qui ne se laisse pas
impressionner par «la pensée de de Benoist, aussi subtile soit-elle»
Il ajoute
cette réponse que [probablement] «le principal intéressé s'en contrefiche également»
essayant vraisemblablement par cette phrase - qu’il a habilement croit-il, fait
précéder de «Il n'est pas impossible que» - de laisser deviner à demi mots à son
interlocuteur qu’il est dans le secret de son Dieu. Ce qui lui attire cette
réponse cinglante :
Mézigue 22 août 2013
Croyez-moi
l'intéressé est loin, bien qu'il le dénie, de s'en contrefoutre. Il n'y a qu'à
voir avec quelle furie il a répondu lors d'une émission télévision de grande
audience (Ce que vous sauriez si vous aviez réellement lu mon blog ...)
Ayant laissé
passer le week-end, je relance mon guignol lui signalant, par politesse, que
j’ai donné un lien vers son texte ; et lui mettant sous le nez deux arguments
montrant que son article apologétique travestit la réalité
Mézigue 27
août 2013Je vous signale
que votre article est cité à cette adresse :
«On peut trouver un bon exemple de cette croyance ICI.
L’auteur de l’article essaie de faire une présentation neutre du parcours
idéologique d’Alain de Benoist - ce qu’il croit être son «évolution» (en trois
étapes) - mais l’image qu’il s’est fabriquée de ce dernier à travers la lecture
de son dernier livre montre surtout sa naïveté et son idéalisme. Ce qui
l’amène, sans peut-être s’en rendre compte, à travestir les faits. Ecrire ainsi
qu’AdB ne «tombe jamais dans la déploration de l’époque moderne» n’est pas
seulement une fadaise, c’est une contre-vérité. Il en est de même de l'idée
qu'il aurait abandonné tout espoir d'agir sur les événements politiques»
Des idiots 27
août 2013
Oui, c'est
très gentil de votre part de le citer et la critique avait été lue mais
justement, et pour dire les choses très clairement, je vous ai répondu par
politesse et surtout pour vous signaler que la question nous laisse
complètement indifférents. Aux essayistes et aux penseurs nous ne demandons
d'être des chefs de file politique. Ce n'est donc pas la peine de vous fatiguer
à répondre.
Cette fois
le crétin nous répond à nouveau mais toujours dans le style pédant («la
critique avait été lue» … par notre Suffisance). Il écrit
alors une phrase extraordinaire qui montre, s’il en était encore besoin, quelle
conception naïve il a de la politique - On verra, plus tard et plus loin sur ce fil, que malgré cette
jobardise, feinte ou réelle (?), ce nigaud se permet d’accuser Bourdieu de ne rien
comprendre au politique ! - : on ne peut pas «demander aux penseurs et essayistes
d’être des chefs de file politique». Mon crétin fait semblant de
croire (Bien que je doute maintenant. Fait-il
semblant d’être ou croit-il vraiment ?) que c’est ce que j accuserais Alain de Benoist d’être. Il m’enjoint (Les fachos aiment ordonner, c'est dans leur nature) de ne pas répondre. Ce
qui est certainement la meilleure manière pour me donner envie de le faire
Mézigue 28
août 2013
Bonjour, je
vous remercie de votre politesse mais je ne suis nullement "fatigué" à vous
répondre et j'essaie simplement d'établir une conversation avec vous. Libre à
vous (votre "vous" ou votre "nous" ...) de ne pas le
vouloir mais que ce soit alors pour de bonnes et véritables raisons.
Vous n'avez,
semble-t-il, pas bien compris ma démarche. Il n'y certes pas de raisons
impératives à demander à des "essayistes et à des penseurs d'être des
chefs de file politique" mais on peut tout de même s'interroger sur
l'impact de certaines idées sur la constitution de certains discours
politiques. Si vous n'êtes pas capable de voir qu'un Soral et bien d'autres
agitateurs d'extrême-droite puisent largement dans le corpus de l'école de
pensée animée par AdB, cela prouve tout simplement que vous êtes un rêveur.
Je note que
vous êtes silencieux sur le fait qu'AdB est l'auteur anonyme d'un livre
apologétique sur l'art nazi et que vous voulez, semble-t-il, ignorer qu'il a
toujours été silencieux sur les délires négationnistes. Ce qui ne le range pas
exactement dans la catégorie des simples "essayistes"
Ici on peut
également ajouter le silence sur la brochure pro-apartheid qu’évoque Frédéric
Lowenfeld dans son article
Des idiots 28
août 2013
Oui c'est
exactement ça. J'ai 14 ans j'adore le skate, Counter Strike et Rihanna. Toi
vieux sage très intelligent, très cultivé mais un peu dur d'oreille quand même.
Toi rien pouvoir pour moi. Toi enfin compris. Au revoir.
Notre infantile crétin, à l'identique d'un Robin (sorte d'étalon de la connerie suffisante)
n’ayant rien à répondre, il fait le con (très bien). Ce qui provoque à nouveau
une réponse cuisante de ma part.
Mézigue 28
août 2013
Si cela vous
plaît de faire l'enfant ... Je m'étonne encore moins du besoin que vous avez
d'admirer quelqu'un d'assez peu admirable
Mais sur un
autre fil, il m’écrit une réponse plus
adulte (mais toujours aussi bête)
Des idiots 28 août 2013
J'ai suffisamment
lu votre blog pour m'apercevoir que sa principale fonction est de dresser de
longs réquisitoires politiques à propos de telle ou telle personnalité et
d'engager dans les commentaires de longues discussions sur l'attitude ou le
passé compromettant d'untel ou untel, avec des contradicteurs que vous finissez
d'ailleurs souvent par injurier. Un genre d'exercice auquel personne ici n'a
vraiment envie de participer.
Je lui
réponds alors qu’il se trompe et tente à nouveau de le ramener vers le sujet , lâchant cette
fois (dans l’espoir un peu fol que l’on puisse commencer à discuter sérieusement), que ma
connaissance de l’histoire de la ND est
certainement plus importante que celle qu’il peut avoir
Mézigue 29
août 2013
Alors vous
n'avez pas bien lu ... Il ne s'agit pas de "de telle ou telle
personnalité", il s'agit de deux bouffons d'extrême-droite d'un côté et
d'Alain de Benoist de l'autre.
Ce que je
remarque est que vous êtes apparemment incapable d'avoir un esprit de suite
dans la conversation.
Vous
écriviez : "Il n'est pas impossible que le principal intéressé s'en
contrefiche également". Et lorsque je vous réponds de façon précise ... vous
passez à autre chose ...
Le problème
semble être que vous ne semblez pas vouloir admettre que vous vous êtes
peut-être trompé dans votre jugement sur Alain de Benoist .
Or la
différence entre vous et moi, pour ce qui est de se faire un avis sur le
dirigeant de la nouvelle droite, est que moi j'ai été un proche d'AdB et
vous pas ...
Je relève
également ce mensonge qui est de dire que j’insulterais systématiquement mes
contradicteurs Comme tous les gens qui
usent de cette accusation, LC est un
hypocrite. Il croit certainement, étant
donnée l’idéologie élitiste à laquelle il s’est rallié, qu’il y a bien des
gens crétins mais comme c’est un petit bourgeois dans l’âme, il hésite à être «inconvenant». Dire à quelqu'un que c'est un crétin n'est peut-être pas poli en certaines circonstances mais le dire à quelqu'un qui a la prétention de ne pas l'être est parfois nécessaire.
Mézigue 29
août 2013
Alors vous
ne m'avez pas bien lu (BIS)
Vous vous
trompez, les commentateurs que j'aurais, éventuellement envie d'injurier (du
fait de leur stupidité) ne sont pas admis.
J'essaie,
tout au contraire, de toujours répondre de la façon la plus précise qu'il soit à ceux qui font des efforts pour transmettre leurs pensées et m'opposer des objections nouvelles
Voyez, par
exemple, ma dernière réponse à ce "syndicaliste" sur le fil consacré
à votre idole intellectuelle et dites-moi où vous voyez des "injures"
...
Enfin vient
une réponse un peu plus étoffée de sa part (le découpage en plusieurs parties est de mon fait)
Des idiots 28
août 2013
1) Les idées des essayistes ont un impact
sur la constitution des discours politiques, certes. AdB n'a jamais caché ses
engagements politiques passés, il en parle d'ailleurs très clairement dans
"Mémoire vive". Vous pouvez chercher tant que vous voulez les preuves
à charge contre lui dans son abondante bibliographie, cela ne sert à rien de
vous contredire sur ce point de toute façon, vous en trouverez toujours de
nouvelles, c'est pour cela qu'entamer la conversation à ce sujet me paraît
parfaitement vain et futile.
2) Il y a dans le corpus de pensée d'AdB
beaucoup de réflexions sur la politique, la géopolitique, l'évolution de la
technique, l'idée totalitaire qui sont extrêmement intéressantes.
3) La complexité de son parcours politique
a certainement enrichi cette réflexion.
4) Qu'un Soral aille puiser un certain
nombres de thèmes chez AdB pour fabriquer sa tambouille faite de complotisme,
de mégalomanie et d'antisémitisme, c'est malheureux
5) mais ça n'enlève en rien l'intérêt que
nous portons toujours à la réflexion d'AdB dans laquelle on peut aussi puiser
avec le sens critique que réclame la lecture de chaque auteur.
6) Si vous pensiez trouver ici des
soraliens excités qui vous accableraient de leurs vociférations, je peux vous
dire que vous avez vraiment frappé à la mauvaise porte.
7) Je ne vois pas quoi vous dire de plus à
par vous assurer que je suis en effet un rêveur bien content de l'être, bref un
véritable idiot quoi.
Mais que
dit réellement cette «réponse» ?
1) Qu’il ne faut pas tenir compte des
preuves à charge … puisqu’elles peuvent être multipliées ! (On pense ici, toutes
proportions gardées à l’idôlatrie dont sont capables certains
heideggeriens qui ont commencé par nier
qu’il y ait eu la moindre compromission de leur Dieu-philosophe avec le régime
nazi, puis qui, après qu’un certain nombre de preuves aient été pourtant
accumulées en ce sens, disent que de
s’interroger sur la relation qui pourrait éventuellement être trouvée entre ces
preuves et certaines orientations de la
pensée de leur Maître, est sacrilège)
2) Une pétition de principe infantile liée au (1). Papa
Benoist = immense penseur. Il est sacrilège de le critiquer
3) Une double ânerie
- Il n’y a, en effet,
rien de «complexe» dans son «parcours politique» ( ?) qui va de la droite nazie et antisémite
(Henri Coston) à la droite communautariste pour un empire allogènement pur (? ou anti-mixophobe si l’on aime les typologies alambiquées à la
Taguieff ...) bâtie sur les valeurs
indo-européennes (Un programme qui la pleine approbation d'un nazillon comme Thomas Ferrier)
- Sa
réflexion aurait été enrichie par ce «parcours politique» (N'aurait-on pas droit d'imaginer plutôt que c’est sa réflexion (et ses lectures) qui ont enrichi sa
position politique inchangée mais méconnaissable sous se nouveaux atours ?
4) Le crachat sur Soral et, surtout, sur ses supporters qui contrairement à qu’il semble penser, du haut de sa suffisance, ne sont pas tous aussi abrutis qu’il l’a
décidé sans avoir jamais essayé de les entendre (Voir les dialogues sur ce blog)
5) Un retranchement derrière l’alibi
«culturel». (Des idées politiques proches de celles de nos ancêtres
idéologiques ? Vous n’y pensez pas !
Nous ne lisons que pour le bonheur de notre esprit et pour enrichir
notre âme) Quant on a entendu, comme moi, Alain de Benoist dire à plusieurs reprise qu’il
serait prêt à sacrifier ses enfants pour défendre ses idées, on se dit que soit AdB a bien changé, soit mon crétin porte bien le nom que je lui ai attribué.
6) Une spéculation absurde sur des pensées
que j’aurai eu à son égard (Je ne confonds pas les pauvres garçons incultes avec les petits bourgeois qui se prennent pour des aristocrates de l'esprit parce qu'ils s'entourent de rayonnages de livres indiqués par leur papa idéologique)
7) Une pirouette de post-ado n’ayant rien à
répondre
Mézigue 28
août 2013
Je ne
pensais certainement pas trouver ici des "des soraliens excités qui
m'accableraient de leurs vociférations" ...
Je vous
remercie de votre aimable réponse. Je note que vous n'avez rien à répondre sur
son curieux silence sur le négationniste de nombre de ses relations ainsi que sur son
silence concernant "l’oubli", dans sa bibliographie, d’un ouvrage
apologétique sur l’art nazi, comme "nègre" et d'une brochure sur l'apartheid
Si vous
estimez "qu'il y a dans le corpus de pensée d'AdB beaucoup de réflexions
sur la politique, la géopolitique, l'évolution de la technique, l'idée
totalitaire qui sont extrêmement intéressantes", je ne peux pas grand
chose pour vous sinon vous souhaiter pouvoir un jour futur sortir de cette
admiration un peu sotte envers un petit idéologue journaliste ; admiration qui
semble montrer que vous êtes très jeune et/ou peu cultivé.
Accessoirement
je ne pense pas que mes rêveurs soient forcément des idiots
Je commence
alors, sentant qu’il va bientôt se lâcher, à lui répondre via mon blog et à lui indiquer ces réponses
Mézigue29
août 2013 06:53
Quelques
développements supplémentaires ici
Des idiots 29
août 2013
Mézigue, je
vais être clair une bonne fois pour toute avec vous. Votre vendetta personnelle
contre Alain de Benoist ne nous concerne pas. Que vous ayez été proche de la ND
et que vous éprouviez le besoin de régler des comptes à ce sujet ne nous intéresse
pas. Personne ici ne révère béatement AdB et votre haine aveugle vis à vis de
cet auteur semble vous empêcher de comprendre que l'on puisse s'intéresser à
certains aspects d'une pensée sans nécessairement sombrer dans le suivisme.
Personne ici ne prétend émettre des jugements justes sur tout et personne ici
n'a envie de supporter plus longtemps votre sectarisme et l'étalage de votre
suffisance. Retournez à vos obsessions et à vos fiches et foutez-nous la paix
une bonne fois pour toute.
C’est le
point d’orgue. Le petit lutteur, porte-parole de la tribu des Idiots, déclare forfait mais ne peut s’empêcher de
recourir à «l’argument psychologique le plus misérable». Ma critique d’Alain de Benoist ne peut pas
avoir de valeur puisqu’elle est forcément bâtie sur la «haine» écrit-il
Notre
journaliste-crétin ne connaît vraisemblablement même pas bien les écrits de son
Maître qui face à ce genre «d’argument» mêlant la psychologie de bazar à un
combat d’idées avait écrit un ce qui est
probablement un de ses meilleurs textes.
On remarquera, dans ce nouvel étalage d'indigence intellectuelle que me donne ce crétin néo-droitiste, cette phrase savoureuse : "Personne ici ne prétend émettre des jugements justes sur tout et personne"
Venant de quelqu'un qui étale ses certitudes idéologiques à longueur de blog (On va y revenir) et participe à un magazine comme Eléments dont il faut être aveugle ou crétin pour ne pas s'apercevoir de son orientation idéologique, c'est surréaliste.
On peut aussi noter que, pour ce plaisantin, être précis et/ou demander des explications, revient à établir des "fiches". Serait-il exagérer de parler ici de tendance à la paranoïa ? Toute personne qui veut étudier un sujet de façon le plus large possible, établit des "fiches". Celui qui se présente (ou qu'on présente ) comme "universitaire, ne sait-il pas cela ?
Enfin pour ce qui est de sa phrase "Personne ici ne révère béatement AdB", j'invite mes lecteurs à lire la prose de ce guignol, quant il rend compte du dernier livre de son guide métapolitique, et de m'expliquer à quel endroit il manifeste un esprit réellement critique.
Laurent Cantamessi, comme on l'avait subodoré après avoir lui cet article médiocre, est tout simplement un charlot ! CQFD.
Que serait notre tout petit réac sans son abonnement à Eléments et son adoration pour la prose d'Alain de Benoist ? Rien.
*****
Pour continuer j'invite mes lecteurs à lire ce
premier article qui donne une assez bonne idée de la position que mon crétin occupe dans le champ idéologique... ainsi que de l'amplitude de sa bêtise.
Pour lui écrire que "Les collaborateurs
juifs (...) sont à peu près
quatre sur
cinq à chaque émission, ou
quatre sur six ou cinq sur sept" [dans une émission] ce n'est pas "
compter", et pas du tout "
au sens d’une recension ethnique" ?
Alors quelle est la raison de ces chiffres et que
comptent-ils exactement mon bon crétin ? Y aurait-il donc eu trop de
juifs pieux (???) à l'émission
Panorama ? Y a-t-il trop de
"sionistes" à cette émission (Si l'on traduit en sot-raëlien) ?
On peut ensuite relever cette phrase : "
il ne fait pas bon aujourd’hui s’éloigner du mainstream idéologique qui prévaut au sein des élites françaises". Mon crétin devrait aller suivre des cours à E&R car il est idéologiquement un peu
attardé. Grâce aux brillantes conférences du Grand Guru Sot-Raël, il apprendrait qu'il en est qu'à la moitié de son raisonnement et que ce que font les "
élites françaises" est décidé et imposé par "
l'axe américano-sioniste".
A deux reprises, mon bon crétin illustre son article avec des images du "point Godwin", référence systématique de tout crétin militant d'extrême-droite qui a passé quelques centaines d'heures derrière un écran. On l'invite donc à lire cette réflexion de "Laurence" le jeudi 4 mars 2010 sur un
blog des éditions Léo Scheer : "
Je ne crois pas au "point Godwin" parce qu'il incite le moindre crétin d'extrême-droite à le sortir comme un carton rouge dès que l'on montre ou démontre que les idées qu'il défend ressemblent fort à celles de régimes politiques passés et vaincus mais dont il faut avoir une sacré dose d'optimisme pour s'imaginer qu'ils ne peuvent pas resurgir sous une forme différente mais tout aussi violente"
J'aimerais aussi savoir ce que mon brave crétin veut dire par "
un certain nombre d’intellectuels, que l’on peut difficilement soupçonner d’antisémitisme" en parlant de certains de ceux qui ont couru au secours du
héros du groupuscule d'extrême-droite les Identitaires. Croit-il dans sa petit tête de néo-droitiste
Cucultivé qu'être, par exemple, juif et antisémite est une impossibilité ?
*****
Comme deuxième articulet très significatif de la crétinerie de mon crétin de néo-droitiste attardé, je propose ce
texte car c'est un parfait exemple
du genre d'idée puante qui peu germer dans la tête d'un tel guignol.
Cet article transpire un tel mépris qu'on pourrait presque croire que l'auteur s'est lui-même volontairement caricaturé pour mieux dissimuler, par ce trop plein, ses pensées abjectes.
Quant je l'ai lu pour la première fois - L'administration
fiscale m'ayant réclamer à moi aussi, à tort, la redevance, j'avais alors cherché
sur la Toile d'autres personnes à qui cela était arrivé - (bien avant donc ma récente redécouverte de ce nid de crétins). J'ai le souvenir de m'être alors demandé quelle sorte de petit merdeux prétentieux pouvait bien, même pour s'amuser, faire le projet d'une lettre suintant à ce point le mépris et le poujadisme le plus rance.
Si on ajoute le fait qu'il ne voit pas ce qu'il y a de scandaleux dans les décomptes d'un vieux gay pas drôle (Voir ci-dessus) au fait qu'il affirme se réjouir chaque fois qu'un animateur de la télévision meure, a-t-on le droit de penser qu'il a une façon de voir le monde qui a certaines similitudes avec la racaille antisémite ?
*****
Je ne vais pas, bien entendu, commenter tous les écrits de
mon crétin préféré du moment mais je crois qu’il est important de souligner ce
qui, chez mon benêt benoitiste, prouve que je ne me suis pas beaucoup trompé en
voyant en lui un bel exemple de bêtise néo-droitiste.
Ainsi cet
article sur Bernard-Henri Lévy
Avant même de lire la prose, ici particulièrement infantile
(quasi débile …), de ce «journaliste» nerveux
et colérique (voir ci-dessus …), j’invite mes lecteurs à lire
l’article
auquel «répond»
son petit articulet
ridicule.
On peut, pour beaucoup de raisons être très critique envers
Bernard-Henri Lévy. On en trouvera des exemples
ICI mais également sous formes plus développées
ICI et
LA.
Mais de quoi parle ici mon brave crétin
crypto-néo-droitiste ? Est-ce une réponse
argumentée aux arguments de BHL contre la bêtise
de Richard Millet ? Nous donne-t-il le sentiment, en lisant sa prose qu’il
prétend «
librement adaptée de Ionesco»
(pauvre Ionesco !)
qu’il aurait
compris ce qu’avait écrit
d’assez juste BHL
ce jour-là ? Sait-il seulement
que l’auteur qu’il semble
particulièrement révérer, a,
lui, eu l’intelligence de
prendre en considération ce que BHL a
parfois d’intelligent
à dire ? Ce qui est le cas ici à propos de Richard Millet.
Bref que les choses sont un petit peu plus
compliquées que ce que son mauvais journalisme de petit soldat
crypto-néo-droitiste crédule veut laisser croire (A ce propos il faut savoir
qu’il n’y a pas dû avoir beaucoup de numéros du
Bulletin Intérieur du GRECE dans lequel
BHL n’était pas vilipendé et ce d'une manière que par euphémisme j'appellerai "peu élégante". Ce qui fait qu'il ne faut pas non plus trop s'étonner que BHL ait refusé de serrer la main d'AdB lorsqu'il le croisa - ce que ce dernier un jour me confia
en ricanant)
*****
Pour ceux qui ne seraient pas encore convaincus de
l’orientation
pré-fasciste de ce pitre, je
leur conseille de lire l’articulet (en deux parties
1 +
2) qu’il a écrit
sur l’épopée de Fiume (03/04/2013)
On connaît l’incroyable boursouflure intellectuelle de ce
crétin. Elle atteint dans la seconde partie un sommet. Ce pitre prétend donner une leçon à Zeev
Sternhell !
Le «grand historien» (qui a dû être formé par le
grand historien Jean Robin) qu’est Laurent Cantamessi écrit : «
Sternhell
a tendance à oublier que Mussolini est bien plus marqué par le marxisme qu’il
ne veut bien le concéder (…)» et plus haut : «
sa thèse nous semble t-il
expose deux contre-vérités».
Bref grâce
à ce charlot atteint de mégalomanie on
apprend que Zeev Sternhell pratique l’oubli
et qu’il avance des contre-vérités (sic)
Et bien moi avec cet article j’ai appris que Laurent
Cantamessi n’est pas qu'un de ces nombreux semi-crétins qui pullulent dans son milieu
politique c’est un crétin hors catégorie.
*****
Comme on pouvait s’en douter notre crétin est contre la théorie du genre. Ce qui est parfaitement autorisé mais encore faudrait-il être un minimum rigoureux.
Ce qu’il n’est pas selon la théorie très en vogue chez les néo-droitistes : «
je cause, je cause, mais je suis un idiot qui ne sait pas de quoi il parle … »
"
Le chroniqueur Laurent Cantamessi écrit : "Judith Butler a déclaré, dans son ouvrage Trouble dans le genre, que l’on était désormais libre de choisir son identité sexuelle comme on sélectionne un vêtement dans sa penderie". Aucune citation ne vient évidemment étayer cette affirmation pour le moins hâtive, surtout lorsqu’on sait que Judith Butler s’est précisément moquée d’une conception du genre qui l’assimilerait à une simple auto-(re)création de soi : "on s’éveillerait le matin, on puiserait dans son placard, ou dans quelque espace plus ouvert, le genre de son choix, on l’enfilerait pour la journée, et le soir, on le remettrait à sa place" (cité par Eric Fassin, préface à Trouble dans le genre, La Découverte, 2005). Non, les thèses de Butler ne transforment pas les individus en consommateurs de genres. Feindre de le croire relève au mieux d’une méconnaissance, au pire d’un travestissement (c’est le cas de le dire) malhonnête des écrits de la philosophe américaine. Les formules accrocheuses d’Elisabeth Lévy ou de Christian Flavigny qui, toujours dans Causeur, résument le processus complexe de production du genre à un simple choix individuel, alimentent cette lecture très peu rigoureuse de Judith Butler"
SOURCE
=== A SUIVRE
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